Bayrou en visite dans ma ville natale, plate-forme du centrisme politique ! JE suis fier que toute ma famille ait pu y assister.
L’arrivée de François Bayrou place du Ralliement à Angers s'est transformée en véritable bain de foule : les passants se sont pressés tout autour de lui et leur accueil fut particulièrement chaleureux.
Dans une brasserie de la place, François Bayrou a rencontré la presse locale. Il a confié sa joie de revenir dans cette ville où il a toujours senti "un climat qui préfigurait sa volonté de dépasser les frontières politiques". Le candidat a reçu le soutien de plusieurs élus municipaux, de la majorité comme de l’opposition, dont la Première adjointe au Maire, Michèle Moreau, qui accompagnait François Bayrou : Angers est une "ville référence", c’est en "grandeur nature", "une préfiguration de ce qui doit être, de ce qui sera le mouvement de rassemblement nécessaire pour que le pays se reconstruise".
La journée s’est terminée par une réunion publique réunissant plus de 4000 personnes au parc des expositions d'Angers. Le candidat à l'élection a exposé les grandes lignes de son programme d'action pour la France, éducation, entreprise, europe, écologie mais aussi dette après avoir réagi avec émotion et gravité aux attentats en Algérie. Il a redit sa volonté de voir tous les enfants entrer en sixième en sachant lire et écrire. Sa proccupation à propos de la réduction de la dette qui pèsera inévitablement sur les épaules de ces enfants présents et à venir.
vidéo : http://www.bayrou.tv/singleFullScreenVideo.php?video=345
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Il y a 5 ans
2 commentaires:
Cette tribune dans les Echos d'hier devrait vous intéresser...
Bayrou, qui cite si souvent l'Allemagne comme exemple, se trompe sur toute la ligne :
http://www.lesechos.fr/info/inter/4562081.htm
sur toute la ligne c'est beaucoup dire... disons que si l'Allemagne va mieux c'est aussi que les réformes des uns ne sont pas idéologiquement supprimées par les autres. Le gouvernement Merkel a bien amélioré la situation des retraites et instauré la TVA sociale. Chaque camp qui veut mettre en place des mesures idéologiques se fait freiner par l'autre, et dans les intentions de vote, les deux partis font 70% à eux deux... Pour un échec...
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